 Nico
Douanier à la François
Messages : 3619
Inscrit(e) le: 06/09/2005
|
 Posté le | | | Le foot est en deuil.... |
Après 17 ans de carrière, qui l'ont vu évoluer dans huit clubs différents, Fabrice Fiorèse a décidé de mettre un terme à sa carrière. Le milieu de terrain de Troyes n'a pas souhaité continué l'aventure avec le club aubois, qui tentera de remonter en Ligue 2 cette saison. «Fabrice Fiorèse ayant souhaité mettre un terme à sa carrière de joueur, l'ESTAC l'a libéré de toutes obligations contractuelles. En conséquence, Fabrice Fiorèse ne fait plus partie du club depuis ce jour», expliquait le site internet du club ce lundi.
Le joueur avait effectué ses débuts en Ligue 1 sous les couleurs de l'Olympique lyonnais lors de la saison 1996-97, avant de rejoindre Guingamp, où il s'imposa durant cinq saisons comme un joueur-clé du dispositif breton. Suivirent ensuite quatre années mitigées au Paris Saint-Germain, ponctuées tout de même par une deuxième place en championnat et une victoire en coupe de France en 2004. Mais le Savoyard s'est mis la capitale à dos en signant dans les dernières heures du mercato un contrat en faveur de l'OM. Fiorèse, ensuite, n'est jamais parvenu à retrouver son niveau d'antan.
Exilé au Qatar, Fiorèse jouerait un an en faveur d'Al Rayyan, sous les ordres de Luis Fernandez, qui l'avait fait venir à Paris. Un an plus tard il revenait en Ligue 1, à Lorient, où il aura inscrit lors de la première journée un doublé au Parc des Princes, synonyme de défaite pour ses anciens coéquipiers (2-3). Après un retour express à Marseille, Fiorèse a redécouvert la Ligue 2 avec Amiens en 2007/2008. Un an plus tard il signait à Troyes mais ne pouvait empêcher sa nouvelle équipe de descendre à l'étage inférieur. C'en est bien fini pour lui. À 34 ans, Fiorèse dit adieu au monde du ballon rond, à l'issue d'une carrière à l'image du joueur : imprévisible. - E. A.:1:
|
| Tu vois s'qui s'passe ? Hein ?! Tu vois s'qui s'passe Larry... tu vois s'qui s'passe ?! Voilà ce qui se passe quand on veut niquer les gens jusqu'au trognon ! |
|
